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Étudiants : comment recherchez-vous vos stages de génie?
Alexis Vailles
28 février 2019
Étudiants
3 minutes à lire
1 613
Mis à jour le 1 mars 2019
Difficile, la recherche de stage? Peut-être est-ce la manière dont vous recherchez vos stages qui complique les choses...
Un petit sondage mené plus tôt cette semaine sur la page Facebook de Génie-inc demandait aux étudiants par quel moyen ils avaient trouvé leur stage en génie.
Les résultats ne pourraient être plus divisés : 50% des répondants affirment l’avoir trouvé sur le babillard d’emplois de leur université, tandis que 50% répondent plutôt l’avoir trouvé par le biais d’un contact ou sur le web.
Si ce sondage n’est pas scientifique, il amène toutefois à se questionner sur les difficultés engendrées par la recherche de stage des étudiants de génie.
« Chaque université de génie possède son service de placement en stage », affirme le recruteur Jean Dufour, de chez Dufour Recrutement.
Pourtant, ce ne sont vraisemblablement pas tous les étudiants qui y ont recours… Qu’est-ce qui incite donc un étudiant en génie à rechercher un stage autrement? Génie-inc a tenté d’en apprendre davantage.
Toutes les universités de génie au Québec, à quelques exceptions près, obligent leurs étudiants à suivre un stage. Certaines exigent que leurs étudiants en génie suivent un programme coopératif, c’est-à-dire en alternance travail étude. D’autres imposent un seul stage obligatoire à leurs étudiants, généralement après la deuxième année.
À l’École de technologie supérieure (ÉTS), le programme coopératif est obligatoire. Leurs étudiants doivent compléter une session de stage pour deux sessions d’études, pour un total de trois stages durant leur baccalauréat. Il est donc impératif pour l’École de trouver suffisamment de stages pour chacun de leurs étudiants.
« Nous avons un bon bassin d’employeurs », assure Olivier Audet, conseiller en communication à l’ÉTS.
Le service de placement en stage de l’ÉTS fournit donc la plupart des stages auprès de ses étudiants. Cela implique toutefois de placer certains étudiants en stage durant l’automne ou l’hiver, afin d’éviter le surplus de candidatures durant la période estivale.
À l’inverse de l’ÉTS, la Polytechnique n’impose qu’un seul stage à ses étudiants. Ce stage doit être suivi après la deuxième année, et beaucoup d’étudiants sont tentés de le suivre durant l’été plutôt que pendant leur session.
Ce mode de fonctionnement oblige-t-il les étudiants à trouver des stages de manière alternative pour contourner le manque d’offres du service de placement? Il semblerait que non, d’après ce que nous explique Annie Touchette, conseillère principale en communication à la Polytechnique.
« Sur l’ensemble d’une année, il y a plus d’offres de stages que de candidats », dit-elle. « C’est toutefois variable d’une session à l’autre; beaucoup de candidats veulent se trouver un stage à l’été ».
Et est-ce que l’on retrouve des stages dans tous les domaines?
« Il y a plus d’offres dans certains domaines que d’autres. Par contre, le taux de placement en stage est de presque 100% dans tous nos programmes ».
Bref, il semble que la raison principale pour laquelle les étudiants contournent leur service de placement universitaire soit que la demande pour les stages en été soit très élevée. Les besoins des entreprises sont toutefois aussi importants en automne et en hiver!
Il est donc tout à fait possible d’être bien desservi par le service de placement en stage de son université. Il ne suffit que de choisir la bonne saison!
Un petit sondage mené plus tôt cette semaine sur la page Facebook de Génie-inc demandait aux étudiants par quel moyen ils avaient trouvé leur stage en génie.
Les résultats ne pourraient être plus divisés : 50% des répondants affirment l’avoir trouvé sur le babillard d’emplois de leur université, tandis que 50% répondent plutôt l’avoir trouvé par le biais d’un contact ou sur le web.
Si ce sondage n’est pas scientifique, il amène toutefois à se questionner sur les difficultés engendrées par la recherche de stage des étudiants de génie.
« Chaque université de génie possède son service de placement en stage », affirme le recruteur Jean Dufour, de chez Dufour Recrutement.
Pourtant, ce ne sont vraisemblablement pas tous les étudiants qui y ont recours… Qu’est-ce qui incite donc un étudiant en génie à rechercher un stage autrement? Génie-inc a tenté d’en apprendre davantage.
Le placement des programmes coopératifs
Toutes les universités de génie au Québec, à quelques exceptions près, obligent leurs étudiants à suivre un stage. Certaines exigent que leurs étudiants en génie suivent un programme coopératif, c’est-à-dire en alternance travail étude. D’autres imposent un seul stage obligatoire à leurs étudiants, généralement après la deuxième année.
À l’École de technologie supérieure (ÉTS), le programme coopératif est obligatoire. Leurs étudiants doivent compléter une session de stage pour deux sessions d’études, pour un total de trois stages durant leur baccalauréat. Il est donc impératif pour l’École de trouver suffisamment de stages pour chacun de leurs étudiants.
« Nous avons un bon bassin d’employeurs », assure Olivier Audet, conseiller en communication à l’ÉTS.
Le service de placement en stage de l’ÉTS fournit donc la plupart des stages auprès de ses étudiants. Cela implique toutefois de placer certains étudiants en stage durant l’automne ou l’hiver, afin d’éviter le surplus de candidatures durant la période estivale.
Les stages non-coopératifs
À l’inverse de l’ÉTS, la Polytechnique n’impose qu’un seul stage à ses étudiants. Ce stage doit être suivi après la deuxième année, et beaucoup d’étudiants sont tentés de le suivre durant l’été plutôt que pendant leur session.
Ce mode de fonctionnement oblige-t-il les étudiants à trouver des stages de manière alternative pour contourner le manque d’offres du service de placement? Il semblerait que non, d’après ce que nous explique Annie Touchette, conseillère principale en communication à la Polytechnique.
« Sur l’ensemble d’une année, il y a plus d’offres de stages que de candidats », dit-elle. « C’est toutefois variable d’une session à l’autre; beaucoup de candidats veulent se trouver un stage à l’été ».
Et est-ce que l’on retrouve des stages dans tous les domaines?
« Il y a plus d’offres dans certains domaines que d’autres. Par contre, le taux de placement en stage est de presque 100% dans tous nos programmes ».
Choisir sa saison
Bref, il semble que la raison principale pour laquelle les étudiants contournent leur service de placement universitaire soit que la demande pour les stages en été soit très élevée. Les besoins des entreprises sont toutefois aussi importants en automne et en hiver!
Il est donc tout à fait possible d’être bien desservi par le service de placement en stage de son université. Il ne suffit que de choisir la bonne saison!
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