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Contributions politiques : le Bureau du syndic de l’OIQ s’entend avec deux groupes
Alexis Vailles
15 novembre 2017
Nouvelles
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L’Ordre des ingénieurs a annoncé s’être entendu sur la question des contributions politiques avec des ingénieurs et ex-ingénieurs provenant de deux firmes de génie-conseil québécoises.
C’est avec des ingénieurs et ex-ingénieurs des firmes Dessau (désormais Stantec) et TEKNIKA HBA (maintenant exp.) que l’OIQ affirme s’être entendu, dans deux communiqués de presse publiés mardi.
Entre 2011 et 2016, le Bureau du syndic de l’Ordre avait ouvert une série d’enquêtes sur des contributions politiques versées par des ingénieurs de ces deux firmes de génie-conseil. Les enquêtes portaient sur des versements effectués entre 1998 et 2010.
Ceux qui avaient versé ces contributions avaient alors reçus des remboursements de compensation de la part de leur employeur. Cet acte constitue, selon le Bureau du syndic, « un acte dérogatoire à l’honneur et à la dignité de la profession qui doit être porté à l’attention du public ».
Des sanctions ont donc été imposées afin de corriger ces manques de transparence. Conformément à l’article 123.6 du Code des professions, les conciliations sont confidentielles et seront versées aux dossiers des ingénieurs visés.
Dans ses communiqués, l’Ordre a tenu à rappeler que les sanctions imposées visent à corriger le comportement en défaut, au lieu de simplement « punir le professionnel ».
C’est avec des ingénieurs et ex-ingénieurs des firmes Dessau (désormais Stantec) et TEKNIKA HBA (maintenant exp.) que l’OIQ affirme s’être entendu, dans deux communiqués de presse publiés mardi.
Entre 2011 et 2016, le Bureau du syndic de l’Ordre avait ouvert une série d’enquêtes sur des contributions politiques versées par des ingénieurs de ces deux firmes de génie-conseil. Les enquêtes portaient sur des versements effectués entre 1998 et 2010.
Ceux qui avaient versé ces contributions avaient alors reçus des remboursements de compensation de la part de leur employeur. Cet acte constitue, selon le Bureau du syndic, « un acte dérogatoire à l’honneur et à la dignité de la profession qui doit être porté à l’attention du public ».
Des sanctions ont donc été imposées afin de corriger ces manques de transparence. Conformément à l’article 123.6 du Code des professions, les conciliations sont confidentielles et seront versées aux dossiers des ingénieurs visés.
Dans ses communiqués, l’Ordre a tenu à rappeler que les sanctions imposées visent à corriger le comportement en défaut, au lieu de simplement « punir le professionnel ».
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